Là-haut
Titre de l’activité : Là-haut.
Cycle 4 : En poursuite d’apprentissage.
Type d’activité : Simulation.
Durée : 1 h.
But de l’activité : Simuler une situation impliquant la poussée d’Archimède et le poids.
Partie du programme : Mouvement et interaction ; Organisation et transformation de la matière.
Attendus de fin de cycle :
– Modéliser une action exercée sur un objet par une force caractérisée par une direction, un sens et une valeur.
– Décrire la constitution et les états de la matière.
Prérequis : Définition et unité des grandeurs masse, volume, masse volumique et poids.
Compétences de la démarche scientifique :
Pratiquer des démarches scientifiques
Pratiquer des langages
Compétences du CNCR* : Mobiliser des outils numériques : programmer.
* D’après https://pix.fr/competences et le Cadre de Référence des Compétences Numériques (CRCN)
Curseur SAMR : Augmentation.
Remarques :
– Les élèves peuvent travailler en groupe.
– En observant le contexte, les élèves formulent une question.
– La création d’un simulateur permettra finalement de répondre à leur question.
– Ils utilisent scratch en ligne en cliquant sur le lien prévu à cet effet.
Mots-clés : Scratch, Programmation, Forces, Masse volumique, Poids, Poussée d’Archimède.
Retours d’expérience, améliorations et développements envisageables :
– Les élèves ont apprécié le changement de support.
– Nombreux sont ceux qui n’avaient encore jamais programmé sur scratch.
– Le fait d’avoir une situation concrète à simuler fut motivante pour les élèves qui furent rapidement en immersion dans l’activité.
– La première question proposant un choix était souvent rapidement réussie.
– Les difficultés ensuite furent : comprendre que le programme effectue chaque commande une fois ; comprendre que dans « alors » « sinon », il est possible de mettre plusieurs commandes à la suite ; comprendre la partie du programme à répéter.
– Les élèves avaient tendance à répéter indéfiniment les commandes dans le « alors » ou dans le « sinon » mais non la condition en entier.
– Les élèves supprimaient également des bouts de programme déjà proposé dans l’activité car ils ne comprenaient pas forcément leur utilité.
– Peut-être bien explicité tout ce qui est déjà en place.
– Il est également dommage que dans les questions à choix, ils ne peuvent pas tester leur choix car le programme final n’est pas encore assemblé.
– Nous perdons ainsi le potentiel essai/erreur pour au moins une voir deux questions.
– En revanche, les élèves testent à loisir à la fin et donc peuvent se tromper et réessayer.
– À noter que parfois, ils ne comprennent pas ce à quoi il doit s’attendre dans la simulation finale.
Ils créent un programme qui fonctionne mains ne se rendent pas compte.
– De nombreux élèves ont atteint le niveau expert, soit directement soit avec la multiplicité des situations.